• Salut, 

    Je reviens avec la suite de mon expérience avec mon allaitement. La suite n'a pas été plus simple, mais beaucoup mieux vécu. Je vous raconte ça. 

    Ce que je ne vous ai pas dit dans la première partie, c'est que mes deux grands étaient chez ma sœur. Mathis faisait une crise d'asthme depuis 2 jours quand je suis sortie et il n'avait pas sa vantoline, enfin si mais elle était vide. Ma sœur avait pu en avoir une, mais j'étais très inquiète. Le jour de ma sortie, nous sommes rentrées à la maison et nous avons pris le temps de se poser. Nous avons été les chercher le lendemain et avec moi l'angoisse de mon allaitement. J'avais peur des regards des autres, peur du jugement, peur de l'incompréhension de mes proches... J'ai allaité Alexis sur le chemin du retour dans la voiture sur le bord de la route. Une première expérience qui n'était pas mauvaise, mais qui n'était pas non plus très agréable. 

    Vie de mère (7) - Allaitement partie 2

    On nous a laissé sortir de la maternité, Alexis avait une petite jaunisse, pour le pédiatre rient d'inquiétant il suffisait de le laisser à la lumière du jour pour que ça parte tout seul. Premier allaitement et j'allaitais à la demande, je ne faisais donc pas attention aux horaires ni le temps qu'Alexis prenait le sein. Pour moi tout allait bien et j'étais sur la bonne vois de mon allaitement. J'essayais de ne pas écouter les mauvaises paroles de mon entourage et c'était compliqué. Ils n'étaient pas spécialement pour que j'allaite, enfin bon. 

    J'ai ma sage-femme, un homme, je tiens à le souligner, qui est venu pour la visite de contrôle. J'ai une nouvelle fois tombé de haut, très haut. Alexis avait perdu du poids, il était descendu plus bas que son poids de naissance. La culpabilité m'a envahis, les paroles de mon entourage me perçaient le cœur, j'étais vraiment incapable de nourrir mon fils, une horreur ! C'était bien plus que du doute, c'était du découragement qui m'envahissait. J'étais nulle ! Je n'allais pas réussir. 

    Vie de mère (7) - Allaitement partie 2

    Ma sage-femme a essayé de le mettre au sein et Alexis ne tétait pas correctement. On a discuté et il a très vite cerné le problème, je le remercie encore mille fois de ses conseils, de son écoute et de sa bienveillance. Encore une personne qui a fait de mon allaitement une réussite. Le problème c'est que la jaunisse d'Alexis le fatiguait et il ne se réveillait pas assez pour boire et ne buvait pas assez donc il stoppait ma monté de lait.  J'avais moins de lait donc il tétait peu et ainsi de suite. Un cercle vicieux ! Mon mari a été d'une aide incroyable et une copinaute qui allaitait aussi m'a fourni chaque jour conseil et soutiens.

    Je reprenais mon allaitement de zéro et si dans la semaine suivante Alexis n'avait pas repris du poids, il faudrait envisagé une autre solution. Je le vivais comme un échec ! Ma sage-femme m'a prescrit de l’hémopathie, une tisane à boire tout au long de la journée et surtout un tire-lait. J'allais tiré mon lait pour lui donner au biberon pour contrôler se qu'il prenait sans jamais le restreindre. Le plus dur pour moi a été de réveiller mon fils toutes les trois heures, heureusement que son papa été là pour m'aider et me soutenir. 

     

    Vie de mère (7) - Allaitement partie 2

     

    Ma monté de lait a été reboosté, Alexis prenait facilement le biberon, mais je vivais très mal la situation. Je ne voulais pas tirer mon lait, je trouvais le procédé vraiment trop " barbare ". A l'époque, je disais que j'étais pas mieux qu'une vache et je trouvais cela dégradant comme procédé. Je continuais malgré tout, car je ne pouvais me résoudre à donner autre chose à mon fils. Je priais pour que ce dernier prennent du poids et je lui donnais mon lait avec bienveillance et tout le monde participait. J'ai eu cette chance d'être entouré ! 

    La visite chez ma sage femme a été un gros stress ! L'avenir de mon allaitement se jouait maintenant et je n'avais pas du tout envie d'arrêter au bout d'à peine 3 semaines. Je savais que c'était le mieux pour lui et je voulais encore profiter de ce moment de complicité avec mon fils. Des efforts, la famille en avait fait, j'ai pris sur moi et tiré mon lait, je lui ai donné le biberon en sachant que ce n'était pas forcément "bien", on a suivit toutes les recommandations à la lettre et ... 

    Alexis a repris du poids !

    On était reparti sur une bonne dynamique, qu'elle soulagement ! Mon allaitement était une nouvelle fois sur des bons rails, même si ce n'était pas vraiment l'allaitement que j'avais imaginé ! 

     

    La suite au prochain épisode ... 

     

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  • Coucou tout le monde, 

    Cet article cela fait des jours que j'y pense, mais je ne trouvais pas le bon moment pour me poser  et l'écrire. 

    Quand, j'ai appris que j'étais enceinte d'Alexis, j'étais heureuse, effrayée et surtout je souhaitais faire les choses à ma façon et sereinement. Maman de déjà deux enfants je savais où je m'embarquais, mais rien ne s'est déroulé, comme prévu. La première chose déjà est que j'ai voulu allaiter et ce sera le sujet de cet article.

    L'allaitement, comme beaucoup de femme, je pense que j'ai à peut prêt tout entendue sur l'allaitement. Et si en plus vous avez des proches plutôt contre, le florilège a du être très laaaaarge. Ici, je ne vais pas vous convaincre d'allaiter ou de ne pas allaiter, chacun fait comme il veut. Je n'ai pas allaité mes deux premiers, mais je l'ai fait pour mon dernier. Je vais plutôt vous raconter mon aventure qui débute à la maternité....

    Vie de mère (6) - Allaitement partie 1

    La décision a été prise assez rapidement, mon conjoint était partant, alors j'ai commencé à me documenter vraiment. J'étais plutôt sûre de moi concernant la décision, mais cela rester trop abstrait et je voulais du concret. Pendant toute ma grossesse, j'en ai parlé à des femmes de mon entourage qui avait allaiter, j'ai fouiné sur Internet et le jour J est arrivé. Je tiens d'ailleurs à remercier toutes celles qui m'ont encouragé et soutenue durant mes 12 mois d'allaitement.

    A la maternité, mon petit cœur collé contre moi, je pensais que tout serait simple et facile vu que je serais encadrée. J'ai vite déchanté ! Je suis tombée sur une première équipe qui fonctionnait à la chaîne et qui n'en avait strictement rien à faire de moi. C'est simple, elle voulait que je me débrouille ! Je pleurais, car mon bébé ne voulait pas prendre le sein, j'angoissais, je paniquais parfois et je voulais absolument sortir de cette enfer. Ce sont les nuits que je redoutais le plus. Il faut comprendre que pour un premier allaitement, je ne savais rien, les livres et les témoignages m'ont rassuré, mais une fois qu'on y est, on y pense plus. 

    J'ai accouché un dimanche matin et la première nuit, ils m 'ont pris Alexis. J'étais trop fatiguée, mon accouchement sans péridurale a eu quelques complications. Cette épreuve m'a sonnée et j'ai trouvé que l'équipe soignante ont minimisé les choses. Enfin bon, c'est un autre sujet ! On m'apportait Alexis pour l'allaitement puis on le reprenait. Le matin, on me le rapporte et la personne m'annonce qu'ils ont donnée à mon fils, sans mon autorisation, un complètement en biberon.  Trop sonné par tout ça, je n'ai rien dis juste hoché la tête, mais je sais très bien que c'est une belle façon de faire foiré un allaitement. Plus tard, j'apprends du pédiatre que d'une, ils auraient du me demander et de deux me questionner sur les allergies de la famille. Vu que nous en avons, ça aurait été pas bête de demander.

    Jour 2- Je n'arrive toujours pas à mettre Alexis seule au sein, c'est compliqué. Je savais que ce serait pas simple, alors je m'accroche, mais d'un côté je me demande si je lui donnais un biberon serait pas mieux. Aucune compassion de l'équipe soignante qui visiblement s'en fiche et que j'ennuie a chaque fois pour leur demander de l'aide. Aucune pédagogie et je me sens vraiment nulle et incompétente à nourrir mon fils. L'envie de tout arrêter m'effleure de plus en plus. 

    Le soir 2- j'ai voulu partir, la sage femme de nuit avait été dur et injuste, c'était la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Celle-ci, me disant que je l'avais appeler la nuit dernière sans cesse que je n'avais même pas mon fils. Elle commence à me dire des paroles qui font mal et que je dois me débrouiller si je veux sortir d'ici. En sortant, elle lache sa bombe en me disant que si je sonne cette nuit, elle se déplacera pas. Je suis anéantie sachant que les nuits me terrifie, j'étouffe, je veux sortir de là. La responsable d'équipe je suppose est venue me parler, je lui explique la situation et je lui dis que de toute façon, je serais bien mieux à l'extérieur et plus soutenue. Deuxième cout de massue, elle me dit que je peux partir, mais qu'elle garde mon fils.  Je ne peux pas laisser mon fils, alors nous discutons un moment, de mon accouchement et de mon allaitement, je me sens enfin écoutée et soutenue. A la fin, nous trouvons une solution. Elle prendrais mon bébé la nuit et viendrait le mettre au sein, quand il aura faim. La nuit passa tranquillement ! Le lendemain quand mon mari arriva, je lui ai tout expliqué et la décision fut prise, il resterait avec moi pour la dernière nuit. Qu'est-ce qu'on a eu raison !

    Ce jour là, j'ai eu la visite de la psy, il faut croire que ma crise de la nuit avait éveiller des soupçons. J'ai raconté à la psy ce que j'avais dis la veille et franchement elle en avait mais rien à faire. Elle regardait son téléphone de temps à autres et quand le temps fut écouler elle partie. Top (ironique) ! Je me dis que la prise en charge reste à désirer. 

    Une autre équipe me prise en charge et là ce fut tout autrement, la personne qui s'occupait de nous a vraiment été sympa.  Cette femme a sauvé mon allaitement et je n'exagère pas. Elle était très douce, très gentille et très patiente. Elle s'est rendu compte qu'Alexis ne savait pas tété et elle m'a apporté un " bout de sein " et nous a fait essayer plusieurs positions, nous avons trouvé la notre. Nous étions lancé, mais pas sauve, il fallait continuer nos progrès et voler de nos propres ailes si nous voulions sortir de la maternité. Elle m'informa que la nuit serait décisive. 

    Vie de mère (6) - Allaitement partie 1

    Cette nuit-là, j'ai eu ma monté de lait et Alexis a demandé a manger très très très souvent. Nous avons peu dormi, certes mais nous étions heureux d'avoir ensemble réussi à mettre notre bonhomme au sein. Tout se jouer sur sa prise de poids pour sortir. Nous avons pu sortir, malgré tous ces problèmes et j'étais fière qu'Alexis soit le seul bébé qui est pris du poids , en plus en allaitement. Je suis sortie de la maternité le cœur léger et confiante pour l'avenir. 

    Je tiens à remercier la seconde équipe qui m'a pris en charge, qui m'a soutenue, conseillée et aiguillée. Je les remercie d'avoir  fait en sorte que je n'abandonne pas à cette première difficulté, car d'autres m'attendaient. 

     

    Pour conclure, je dirais juste que les premiers jours d'allaitement, ce n'est vraiment pas simple. Il faut s'accrocher et surtout il faut être entouré. J'ai eu énormément de chance d'avoir mon mari et des amis qui m'ont soutenue pendant cette période, car je pense que sinon j'aurais abandonné. Personnellement, c'est trois jours ont été un choc d'émotions et j'avoue n'avoir pas pris spécialement plaisir à allaiter. C'était vraiment une période entre parenthèse: la fatigue, le stress, les problèmes à l'extérieur, les hormones, ... Ce n'était pas magique avec plein de paillettes ! 

     

    Rien est impossible quand on est déterminé !

     

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  • Coucou à tous, 

    J'aimerais vous parler de quelque chose qui me tiens beaucoup à cœur. Cela va également répondre a une question qu'on me pose souvent " Comment faire aimer la lecture à ses enfants ?". Alors, je vais vous parler de mon expérience qui n'en est rien une science exacte. 

     

    Vie de mère (5)

     

    Le début:

    Pour Alexis, j'ai commencé à lui lire des histoires dès qu'il était dans mon ventre. Une habitude que j'ai prise et que j'ai gardé après sa naissance. Pour Ophélie et Mathis, ils ont débuté avec les livres dès qu'ils se tenaient assis. Alors peut-être que la solution est là de les initier le plus tôt, que ce soit une habitude et non une contrainte. 

    Vie de mère (5)

    Nous sommes une famille de lecteurs, sauf mon mari, mes enfants ont toujours baigné dans les livres et ils m'ont toujours vue lire. Chez nous, les livres ont pris possession de presque toutes les pièces, ils sont partout et à disposition.Je pense que c'est aussi une clef pour que le livre leur devient attractif. Si Maman et/ou Papa lit pour son plaisir, alors je pense que l'enfant sera curieux et voudra imiter son parent. 

    3 enfants = 3 lecteurs différents.

    Ophélie ne lit pas ce que Mathis lit et vice versa et Alexis a une façon de lire bien à lui. Aucun ne sont bridé, forcé et rien ne leur est imposé en terme de lecture. Chacun lit à son rythme et ce qu'il a envie, respecter ses choix de lectures est important à mon sens.

    Ophélie, 14 ans, dévore tout ce qui lui passe entre les mains : BD, manga, roman, documentaire ... Rien ne lui résiste. Mathis, 11 ans,  lui est davantage BD et je pense qu'il commence à s'ouvrir au manga. Il lit quelques romans, mais ce n'est pas ce qu'il préfère. Il a lu pendant longtemps des albums et cela ne posait de problème à personne.Alexis, du haut de ses 17 mois, regarde énormément de livres. Il adore les livres musicaux, à toucher et il aime beaucoup qu'on lui raconte de courtes histoires. 

     

    Vie de mère (5)

     

    Un avantage ! 

    Je ne sais pas si cela évite de faire des fautes ou si mes enfants ont plus de vocabulaire qu'un enfant qui ne lit pas. Ce que je sais c'est que ça les rends plus critique, plus curieux et ils ont une bonne culture général. Ils s'intéresse à tout et parfois vont rechercher des infos après leur lecture. Si jamais un thème les interpellent, ils peuvent en discuter, essayer d'aller plus loin, apprendre toujours plus pour aller au bout des choses. Ce point, j'avoue que j'en suis vraiment fière.

    Ma fierté de maman ^^

    La lecture prends une grande place dans notre vie et cela j'en suis fière. Je suis fière des qualités qu'ils ont acquise grâce à la lecture. Je suis fière également de ce que ça peut leur apporter et fière des personnes qu'ils deviennent. Je suis vraiment heureuse de leur avoir transmis cette belle passion qu'est la lecture ! 

     

     Et vous racontez-moi, vos enfants lisent ils ? Quel genre de livres ? 

     

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  • Salut tout le monde, 

    Un petit post pour vous partager mon ressentiment de Maman. 

    Comme vous le savez Mathis est asthmatique sévère et si on arrive à gérer les crises et les traitements au quotidien, parfois c'est plus dur. Aujourd'hui, c'est plus dur ! 

     

    Vie de mère (4)

     

    Mathis a un CROSS avec l'A.S du collège. Il m'en a parlé pendant des jours et il était très content d'avoir été sélectionné. Ce jour, il l'attendait et il avait hâte de participer, mais malheureusement il ne pourra pas et cela me rends très triste. 

     

    Vie de mère (4)

     

    Samedi, il a eu des vaccins qui lui ont déclencher une crise et on a réussi à la gérer. Ce n'était pas une grosse crise, mais quatre jours après, mon fils se sent encore fragile pour respirer. Ce qui ne m'étonne pas, car il met toujours entre 5 et 7 jours pour récupérer intégralement.

    Son asthme ne l'a jamais empêché de faire du sport et mon mari et moi l'avons toujours encouragé dans ce sens. C'est bon pour ses poumons. Aujourd'hui, je vis mal le faite qu'il ne pourra pas y participer. J'ai vu la déception dans ses yeux et de la tristesse. J'en viens à me demander si j'ai fait le bon choix. C'est difficile de prendre ce genre de décision. 

    J'essaie de lui remonter le moral, des rencontres sportives, il y en a d'autres de prévues. Il va se remettre de sa crise et il pourra participer aux autres. Que lui dire d'autres ? Que faire pour que face à cette maladie qui parfois ( souvent ?) nous pourri la vie ?

    Il est parti au collège le cœur lourd et déçu et mon petit cœur de maman pleure face a autant d'injustice ! 

     

    Vie de mère (4)

     

     

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  • Coucou tout le monde, 

    Aujourd'hui, ma Vie de Mère est un peu particulière et j'aimerais la partager avec vous. 

    Ce matin, je file faire les courses avec Alexis. Je passe de rayon en rayon, mon petit bout bien installé dans le cadis. Je passe dans le rayon fruits et légumes frais. Je prends des pommes, miam des pommes au four, du raisin, pour le désert et hop hop les bons kiwis... Je me dirige vers la balance et Alexis commence à s'agiter, car il veut manger un fruit. Une vendeuse s'approche et on discute deux minutes. 

    Je lui explique que mon petit garçon aime beaucoup les fruits et qu'il est impatient de les goûter. Et là le choc ! L'employer du magasin est très surprise et me dit que c'est rare un bébé qui mange des légumes et des fruits et que j'ai beaucoup de chance. Je m'interroge, sincèrement, qu'est-ce que ça mange un bébé ? Je ne vois pas du tout ça comme de la chance, mais comme de l'éducation. J'ai éduqué le palais de mon fils en lui faisant goûté de tout. J'avoue lui avoir toujours beaucoup proposer des fruits et des légumes. Pourquoi cela choque ? 

     

    Vie de mère (3)

     

    Nos courses se termine et on se dirige vers la caisse. Je choisi la caissière qui aime bien Alexis, ça permet de poser /récupérer les courses tranquillement, sans avoir une personne pas très compréhensive. J'ai pris deux puzzles 1+1 gratuit, une affaire ! On discute et là un choc ! 

    Quoi vos enfants font des puzzles ? Il les fonts et re-fonts leur puzzles ? Vous en avez de la chance ! Et là c'est moi qui tombe des nues. Est-ce que les ados d'aujourd'hui sont juste capable de rester devant un écran ? C'est incroyable cette société de cliché ! Là encore je ne me trouve pas chanceuse. J'ai éduquer mes enfants, je les élève avec beaucoup d'implication et de valeurs. Pourquoi cela choque ? 

     

    Vie de mère (3)

     

    Après cette sortie course, j'avoue avoir un ressenti mitigé. D'un côté je me sens fière des enfants que j'ai, fière de leur éducation, de ce qu'ils sont .... et de l'autre j'ai l'impression d'être un extraterrestre, une espèce en voie de disparition ... Est-ce que vous aussi ça vous arrive ? 

     

    Racontez-moi vos anecdotes sur le sujet ! 

     

    Vie de mère (3)

     

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